francais:
Bonjour à tous !
Merci à ceux qui ont pu venir le 17 janvier dernier à la conférence/débat sur la question du doublement du tunnel du Col de Tende au cinéma le Bégo, à Tende.
Elle a rassemblé environ deux cents personnes, dont le Conseiller Général M. Balarello, M. Le Maire de la Brigue et quelques élus de Saorge et de Breil.
En voici le compte-rendu.
Merci de prendre le temps de le lire pour savoir quels sont les enjeux d'un tel projet et les conséquences à venir en terme de sécurité dans les villages et de santé publique.
Merci de le diffuser largement autour de vous, par mail ou en l'imprimant.
Il faut continuer à parler de cette question pour que cette réunion ne reste pas lettre morte.
Afin que les citoyens soient entendus.
Pour le Foyer Rural de Tende et La Brigue,
Mlle Cécile Buzenet
foyer.rural.roya@gmail.com
Une projection-conférence-débat organisée par le Foyer Rural de Tende et La Brigue s’est tenue samedi 17 janvier 2009 à 16 heures au cinéma "Le Bégo" de Tende. Le thème en était : « Enjeux et conséquences du doublement du tunnel du Col de Tende sur le trafic routier et sur la qualité de vie dans les villages ». Plus de deux cents personnes étaient présentes dans l’assistance, dont le Conseiller Général M. José Balarello, le Maire et la première adjointe au maire de la Brigue, Monsieur Bernard Gastaud et Mme Agnès Franca, ainsi que des conseillers municipaux de Saorge et de Breil.
La présidente du Foyer Rural, Mademoiselle Cécile Buzenet, présente le programme. La réunion commencera par la projection d’un film documentaire de Gilles Perret , « TIR-toi du Mont Blanc », présenté et commenté par Monsieur Simon Métral, Chargé de communication de l’ARSMB (Association pour le Respect du Site du Mont Blanc). Mlle Buzenet explique que le Foyer Rural, soucieux de préserver un équilibre dans la répartition des intervenants à cette projection-conférence-débat, a invité la DDE ( 1 ) (Direction Départementale de l’Équipement) de venir présenter le projet, mais que celle-ci a décliné l’invitation. En conséquence, elle annonce que, dans un souci d'équité, elle assurera elle-même, cette présentation. Elle présente alors les autres intervenants : M. Jacques Molinari, secrétaire scientifique du GIR Maralpin (Groupe Interdisciplinaire de Réflexion sur les traversées sud alpines et l'aménagement du territoire maralpin), qui interviendra sur la problématique d’un choix du « tout routier » face aux alternatives ferroviaires, et Mme Zoé Chemallé de l’association Roya Expansion Nature (REN) présentera les conséquences sanitaires et environnementales du projet.
Monsieur Métral prend la parole et présente d'emblée les statistiques 2006 de la circulation au tunnel du Mont Blanc : 1700 camions par jour, et 3250 véhicules légers par jour. Il raconte l’âpreté de la lutte qui a fait écho à la catastrophe du 24 mars 1999, depuis la réouverture du tunnel et qui se poursuit sans faiblir. Il raconte que sa femme et lui-même sont en instance de procès, et d’autres membres de l’association doivent payer de lourdes amendes pour avoir tenter d’arrêter le passage des camions dans le tunnel lors des différentes manifestations qui se sont tenues contre sa réouverture en 2002, et lors de la levée de l’alternat en mai 2003. Il met l’accent sur la solidarité de l’ARSMB avec toutes les luttes similaires.
Le film est ensuite projeté. Il décrit les différents épisodes de la chronologie récente du tunnel du Mont-Blanc, depuis l’accident qui avait causé la mort de 39 personnes, jusqu’à aujourd‘hui. La réponse du Président Jacques Chirac, à l’annonce de l‘horrible hécatombe, avait été: « Plus jamais aucun camion ne passera dans le tunnel du Mont-Blanc ! ».La majeure partie de la population de la vallée de Chamonix s’est mobilisée lors de la journée de réouverture du tunnel, et a participé à un important rassemblement composé de plus de 5000 manifestants ; la plupart des commerçants avaient fermé leur boutique en signe de protestation. Pendant des heures, les participants ont tenté de s’opposer au passage des camions en occupant la chaussée : mais les forces de l’ordre les ont dispersés sans ménagement en envoyant des gaz lacrymogènes. Un comité de vigilance s'est ensuite rassemblé aux abords du tunnel tous les mercredis soirs pendant plusieurs années, pour rappeler aux automobilistes, aux pouvoirs publics, et aux médias, les dangers et les nuisances
apportées par ce trafic intense dans la vallée et de plus, au pied d'un site classé au
patrimoine mondial de L'UNESCO.
En période d’hiver, la neige des secteurs environnants est souillée d’une poussière grise ou noire, et les prunes qui poussent en été sont également recouverte d'une pellicule noire. Lors de l’arrêt total du trafic, les habitants avaient pu goûter les bienfaits d'un air et de fruits moins pollués.
Le film montre que l’alternance de la circulation a eu un effet modérateur sur le flux du trafic. Le péage quant à lui n’est pas suffisant pour restreindre la circulation.
Mademoiselle Buzenet, en l’absence de la DDE (1), évoque ensuite le projet de doublement du tunnel du Col de Tende tel que cette dernière le présente sur son site internet.
Les objectifs de la réalisation sont au nombre de trois:
- Un doublement du tunnel actuel avec une mise aux normes relatives à la sécurité face au risque incendie.
- La suppression des mesures contraignantes d'exploitation liées au croisement difficile, voire impossible, des véhicules à l'intérieur du tunnel.
- La rectification des derniers lacets (très étroits pour les camions) de l'accès au tunnel côté français.
L'enjeu en est la mise en sécurité de cette liaison France / Italie par l'aménagement de deux tunnels conformes aux nouvelles normes de sécurité (galeries de liaison tous les 280 m) et la mise en place d'une gestion unifiée ; les travaux de sécurisation et les mesures de gestion actuels étant insuffisants pour répondre à ces exigences.
L'opération consistera en la construction d'un nouveau tunnel parallèle à l'actuel d'une longueur de 3250 mètres dont 1515 mètres côté français avec les équipements nécessaires pour une exploitation à sens unique ou bidirectionnel (pendant la durée des travaux) Le tunnel actuel restera en fonction pendant les travaux. Dans le même temps, la rectification des derniers lacets de l'accès au tunnel côté français sera entreprise. Puis l'on procédera à l'alésage du tunnel actuel pour lui donner les mêmes caractéristiques que le nouveau. Pendant les travaux, le tunnel neuf sera exploité à double sens.
Les Particularités techniques du tunnel neuf :
- une voie de circulation de 3,50 mètres de large.
- une bande dérasée de gauche de 0,30 mètre.
- une bande d'arrêt d'urgence à droite de 2,70 mètres de large
- une hauteur libre sous la voie de circulation de 5 mètres
Les ouvrages d'art à construire:
- un viaduc, un pont et des murs de soutènement d'une hauteur supérieure à 10 mètres du côté français.
Le financement de l'opération, pour un coût estimé de 196 M d'euros, sera pris en charge à 41,65 % par la France (1/3 État, 1/3 Région, 1/3 Conseil Général) et à
58,35 % par l'Italie qui exercera seule la maîtrise d'ouvrage.
L'avancement du projet en quelques dates:
- 27 novembre 2001 : le sommet franco-italien de Périgueux acte le principe de la construction d'un tunnel neuf.
- 25 septembre 2006 : la CIG (Commission Intergouvernementale pour
l’amélioration des liaisons franco-italiennes dans les Alpes du Sud) valide le
«progetto definitivo», l’avant-projet sommaire. La solution «haute» avec variante « lacet Est en remblai » est retenue.
- 12 mars 2007 : signature de l'accord franco-italien à Paris. Ce traité précise l'estimation des travaux, la répartition du financement de l'opération et aborde les conditions de gestion unifiée et d'exercice de la maîtrise d'ouvrage unique confiée à l'Italie.
- 18 octobre 2007 : ratification par la France de l'accord de Paris (loi n° 2007-1485).
- 31 août 2008 : ratification du traité par l'Italie
Echéances à venir :
- -Procédure d'appel d'offre (durée 8 mois) : début 2009
- Réalisation du lancement d'un sondage géologique horizontal de grande longueur à la tête française : 1er trimestre 2009
- Début estimée des travaux : mi 2010
- Durée estimée des travaux : 7 ans
- Date de mise en service prévisible : horizon 2017
Données consultables sur :
www.paca.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/11.Tunnel_Tende_171008_cle74921d.pdf
Puis Monsieur Molinari commence son exposé par la présentation des données statistiques de circulation sur la RD 6204, dont il souligne qu'ils sont stagnants en regard de la croissance forte et continue des autres trafics, notamment à Vintimille. Cette stagnation n'est sans doute pas étrangère aux difficultés de l'itinéraire et aux contraintes actuelles de franchissement du tunnel. Il fait également remarquer que l'essentiel du trafic sur cet axe est constitué par de usagers pendulaires piémontais de fin de semaine qui se rendent les vendredis et samedis du Piémont vers leurs villégiatures ligures ou azuréennes et en remontent les dimanches en fin de journée.
Il retrace ensuite la chronologie des projets liés au tunnel de Tende, depuis la création du tunnel routier en 1882 jusqu’à la période actuelle. Il présente ainsi le rapport Brossier, qui en mai 1998 préconisait « le retubage du tunnel actuel sans en améliorer les caractéristiques afin de ne pas favoriser un trafic PL qui viendrait perturber une vallée alpine fort pittoresque et fragile, la vallée de la Roya. Avec, pendant la durée des travaux, "une route roulante à travers le tunnel" ».
Puis il rappelle une résolution des élus de la Vermenagna revendiquant la ré-électrification de la ligne ferroviaire et s'opposant à la poursuite de grands travaux routiers sur l'axe, accompagnée d'une proposition du Président de l'ANAS (Direction des Routes italiennes) faite à Cuneo en février 1999, de consolider et de réaléser, aux frais de cette dernière, le tunnel de Tende, en procédant sur 250 mètres à son retubage avec élargissement à 10 mètres. Cette opération aurait en outre démontré la possibilité de mettre aux normes le tunnel actuel sans interrompre la circulation.
Malheureusement, Messieurs José Balarello et Patrick Allemand ont refusé sur le champ cette proposition pour exiger la création d’un nouveau tunnel.
Le conférencier conduit d'ailleurs l'assistance à s’interroger sur l’utilité de créer un deuxième tunnel, quand on sait par exemple que le plus long tunnel routier
du monde, celui du Laerdal en Norvège, d'une longueur de plus de 24 km, est
monotube et tout simplement sécurisé par des plateformes de retournement
régulièrement espacées.
Ces dispositifs de sécurisation pourraient être réalisés dans le tunnel de Tende si l'on saisissait la proposition récemment formulée par les autorités piémontaises. Celle-ci vise à remettre en service la navette ferroviaire pour permettre des travaux de sécurisation de plus grande ampleur et à moindre coût sans pénaliser les relations entre les deux vallées contiguës.
Cette opération aurait pour avantage de revaloriser le rail, de préluder à la ré-électrification de la ligne (laquelle était électrifiée jusqu’à sa destruction en 1945), de la sécuriser, d'améliorer ses performances, de la rendre plus attrayante, et de détourner ainsi de la route les trafics de transit, de véhicules légers et de poids lourds confondus, qui affectent la qualité de vie des deux vallées.
M. Molinari conclut en insistant sur l'urgence qu'il y a à sécuriser le tunnel. L'échéance de mise en service du nouveau tunnel prévue pour 2017 est trop éloignée. Les risques d'occurrence d'un accident s'élevant avec le temps, huit années dans de telles conditions ne sont-elles pas trop longues ?
Il convient donc de hâter cette réflexion et de rendre le tunnel plus sûr, et cela, dans les plus brefs délais grâce aux solutions évoquées ci-avant.
Cet exposé et les diapositives utilisées sont consultables en ligne sur le site du GIR Maralpin :
http://www.gir-maralpin.org/confnvxdossiers/MolinariConfRouteRailColTende807s.pdf
Mme Chemallé, une administratrice de l’association REN prend ensuite la parole pour évoquer les risques sanitaires liés à une exposition accrue au CO2, gaz essentiellement produit par la circulation des véhicules. Elle souligne que le film montre bien, qu’au départ, le tunnel du Mont Blanc ne devait servir qu’à relier deux vallées et que les commerçants étaient loin d’imaginer l’explosion du trafic ainsi engendrée. La vallée de la Roya risque à son tour de devenir un couloir de circulation intense si le tunnel est doublé. Elle évoque l’illogisme d’une situation où nos élus votent des lois telles le Grenelle de l’Environnement, mais, sur le terrain, n’adaptent pas leurs projets. Elle présente enfin la pétition cosignée par seize associations françaises et italiennes, qui préconise le réexamen du projet à la lumière des accords de Kyoto, du Grenelle, et d’autres plans liés à la nécessité de réduire le réchauffement climatique. Ces mêmes seize associations franco-italiennes ont également adressé à M. Le Préfet des Alpes-Maritimes à la mi-décembre 2008 une motion-pétition appelant à un vrai débat public sur cette question. Mais il n'a toujours pas répondu.
Les débats avec la population sont ensuite ouverts. M. Balarello prend la parole pour dire qu’il a également tenté de faire avancer le dossier de la ré-électrification du rail, et qu‘il est convaincu de la nécessité d’améliorer les performances de notre ligne de chemin de fer. Il lui est rappelé qu’il avait lui-même évoqué lors de la conférence sur les mobilités alpines qui s’est tenue à Limone Piemonte en septembre 2008 « la déferlante qu’allait représenter le trafic de camions
dans les deux vallées française et italienne dès l’ouverture du nouveau tunnel ». à la
question qui lui est posé par un participant : « Alors, que faire pour éviter cette
déferlante ? », M. Balarello répond que, pour lui, seul un péage pourrait limiter le flux. Il lui est rappelé que les élus Italiens ont refusé sans aucune équivoque toute idée de péage. Et que ce sont d’ailleurs eux qui doivent être les maîtres d’ouvrage du futur
chantier. Un participant évoque alors les déclarations de M. Jean-Claude Guibal,
député-maire de Menton, qui souligne qu’un double tunnel est, pour lui, la solution qui offre les meilleures garanties de sécurité, mais regrette que sa proposition d’une interdiction au plus de 35 tonnes n’ait pas été retenue « pour ne pas compromettre les évolutions ultérieures du tunnel ».
Un botaniste de la Tinée présent dans la salle rappelle la richesse de la biodiversité dans la vallée de la Roya, où, grâce à l’exceptionnelle protection de ses milieux, l’on peut continuer à découvrir des espèces endémiques, telle récemment, la fougère Ruscus Hypoglossum, ou un papillon de nuit dont on ignorait même la présence sur terre jusque-là.
Une mère de famille décrit l’angoisse qu’elle vit à élever ses enfants aux abords de la RD 6204, les différents accidents évités de justesse, ses démarches auprès de la gendarmerie et de la DDE qui lui a expliqué que « la priorité revenait aux usagers de la route d’abord, et que les habitants "n’avaient qu’à s’aligner" ».
Un berger pose le problème du type de choix de production économique qui amène à un flux si important de camions.
Un couple vivant à proximité de la voie de chemin de fer s’inquiète des possibles nuisances en cas de trafic ferroviaire plus important.
Il est mentionné que la DDE ne prévoit pas pour un avenir proche de contournement du trafic pour les villages.
Une enquête publique relative au projet du tunnel a été diligentée en été 2007. La question est posée pour savoir combien de personnes présentes dans la salle étaient informées de la tenue de cette procédure. Une seule personne l’était.
L’inquiétude des personnes présentes est manifeste quant au devenir de cet axe. La demande est formulée que seule une mise aux normes du tunnel existant soit effectuée et que soit abandonné le projet de deuxième tunnel afin de ne pas devenir un autre « tunnel du Mont Blanc ». Cette demande est soutenue par une grande majorité de l'assemblée qui applaudit. Il semble n’y avoir, à l’heure actuelle dans le projet retenu, aucune garantie qui préviendrait les nuisances liées au développement d’une circulation transeuropéenne sur cet axe. Un participant rappelle qu’à la conférence de Limone, il nous a été annoncé un doublement du trafic poids lourds entre l’Italie et la France pour dans 20 ans.
A 19 heures le cinéma est libéré pour permettre la projection du film du samedi soir. Le débat continue cependant dans la salle de musique attenante au cinéma autour de délicieuses tourtes et spécialités locales biologiques proposées à l’assistance.
Note ( 1 ): Le projet de tunnel relève des services de l'État (DDE & DRE), mais toutes les routes du département relèvent depuis l'année dernière du Conseil Général 06.
italiano:
scrivere qui
mercredi 28 janvier 2009
samedi 10 janvier 2009
Conférence sur le doublement du tunnel du Col de Tende - 17/01 à Tende / Conferenza sul raddoppio del tunnel del Col di Tenda - 17/01 a Tenda
Bonsoir à tous !
Afin d'informer les habitants de la vallée de la Roya et de la Vermenagna et de répondre à leurs questions toujours plus nombreuses sur les enjeux et les conséquences du doublement du tunnel du Col de Tende sur le trafic routier et sur la qualité de vie dans les villages, le Foyer Rural de Tende-La Brigue a le plaisir de vous convier à la projection du film de Gilles Perret «T.I.R.-toi du Mont-Blanc », présenté par M. Simon Métral, de l'association ARSMB (Association pour le Respect du Site du Mont-Blanc) le :
SAMEDI 17 JANVIER à 16H PRECISES AU CINEMA LE BEGO à TENDE
Celle-ci sera suivie des interventions de M. Simon Métral de l'association ARSMB, d'une personne neutre qui exposera le projet de doublement du Tunnel, de M. Jacques Molinari de l'association GIR MARALPIN (Groupe Interdisciplinaire de Réflexion sur les traversées sud-alpines et l'aménagement du territoire maralpin) et de membres de l'association REN (Roya Expansion Nature). La fin d'après-midi sera prolongée par un débat avec le public. Les discussions pourront continuer autour d'un verre en salle de musique.
Nous aimerions que cette rencontre permette aux avis les plus différents sur cette question de s'exprimer et dans ce sens, nous souhaiterions que le plus grand nombre de citoyens, d'associations et d'élus soient représentées.
Nous comptons sur vous pour parler de cette réunion autour de vous (n'hésitez pas à diffuser ce message)
Bien cordialement, à samedi !
Toute l'équipe du Foyer Rural !
mardi 6 janvier 2009
Travaux 11/01/09 / Interruzione per lavori 11/01/09
francais:
En raison d’important travaux de modernisation des installations de la commande centralisée de Breil sur Roya , la circulation des trains sera totalement interrompue entre L’Escarene et Breil sur Roya , ainsi qu’entre Vintimille et Limone du samedi 10 janvier 2009 20h30 au dimanche 11 janvier 2009 21h30.
Le samedi 10 janvier, seul les trains italiens suivants sont supprimés :
- 22990 Vintimille 19h47 / Breil 20h35 /Tende 21h08 /Cuneo 22h00
- 22993 Cuneo 19h05 / Tende 20h06 / Breil 20h36 /Vintimille 21h01
Le dimanche 11 janvier, tous les trains sont supprimés entre L’Escarene et Breil ainsi qu’entre Vintimille et Limone
La circulation des trains sera normale entre Nice Ville et L’Escarene.
Des cars de substitutions seront mis en place entre Nice et Sospel / Breil / Tende et vice versa .
Je vous joins le programme de circulation correspondant.
Je vous prie de nous excuser pour les désagréments causés et vous remercie de votre compréhension.
Cordialement
VIALE Armand
Responsable de ligne TER Nice / tende
EEX des AM Région de Marseille
italiano:
Per importanti lavori di ammodernamento delle installazioni del comando centralizzato di Breil sur Roya, la circolazione dei treni sarà completamente interrotta tra l'Escarene e Breil e tra Ventimiglia e Limone da sabato 10 gennaio alle 20h30 fino a domenica 11 gennaio alle 21h30.
Sabato 10 gennaio soli i treni seguenti sono soppressi:
- 22990 Vintimille 19h47 / Breil 20h35 /Tende 21h08 /Cuneo 22h00
- 22993 Cuneo 19h05 / Tende 20h06 / Breil 20h36 /Vintimille 21h01
La circolazione sarà normale tra Nice e l'Escarene.
Dei bus sostitutivi sono previsti tra Nice e Sospel / Breil / Tende, in allegato il programma.
Inscription à :
Articles (Atom)